Bonjour à tous,
Voilà déjà 4 ans que mon beau coco (Quaker) m'a quitté. Environ une fois par année, je passe quelques journées à m'effondrer sur sa mort.
Je dois dire que c'est la première fois de ma vie que je perdais un proche. J'ai tellement eu mal lorsqu'il est mort, et j'ai encore mal aujourd'hui lorsque je me replonge dans le moment de sa mort et ce, même si je ne l'ai eu que deux ans!!
Je l'ai enterré dans son petit transporteur, avec le chandail qu'il aimait le plus gruger, avec ses jouets, et j'en ai gardé un pour moi. J'ai pleuré comme un bon, puis tranquillement, j'ai fait la paix avec l'événement.
On dirait par contre que je n'ai pas fini mon deuil, puisque je pleure autant et avec autant d'intensité lorsque je vie la réouverture de mon deuil.
Ça arrive plus ces temps-ci parce qu'après 4 ans d'absence, je me réémerge dans le monde des psittacidés ET, de surcroit, y'avait des photos de Quakers partout au colloque aviaire (en plus que j'ai acheté une tasse avec un Quaker dessus, rien pour m'aider hehe).
Est-ce que vous avez vécu ces réouvertures de deuil même des années après la mort d'un ami aussi cher qu'un petit plumeux?
Quelles expériences avez-vous vécu?
Voici des photos de mon bel ami du temps qu'il était tout plein de vie. Vous savez, je n'ai jamais honoré sa mémoire autour de gens qui savent ce que c'est que de perdre un oiseau (les gens du public général ne savent souvent pas c'est quoi - « c'est juste un oiseau après tout! » - Ce serait beaucoup trop facile si c'était comme ça.
En tout cas j'en profite pour honorer sa mémoire ici parmis des gens qui comprennent probablement comment ça peut arracher le coeur la mort d'un plumeux.
Je vais t'aimer à tout jamais mon beau coco.