Re: Le picage-Témoignage
Posté: Ven Juil 13, 2018 10:33 am
Chopin est toujours dans son engrenage de picage. Ça repousse sur le torse et un peu partout sur son corps, mais il continue d'arracher le duvet et les picots dès qu'ils sortent! Il a même commencé à attaquer les ailes (en dessous et au-dessous!).
En dehors de ça, son comportement n'a pas changé: Il parle, siffle rigole comme avant, et il est toujours aussi affectueux et câlins (à ses heures!)
Je suis de plus en plus convaincu que la cause de son picage est d'ordre psychologique.
Devant l'absence d'amélioration, et en accord avec le véto, j'ai cessé toutes les prises de médicaments. Pendant 5 mois, il a d'abord été sous antifongique et antibiotique pour traiter son infection respiratoire, puis sous antiprurigineux et anti douleur pour lutter contre les démangeaisons.
Tous ces médicaments qu'il a pris matin et soir avec une seringue n'ont certainement pas contribué à atténuer son stress, même s'il les acceptait très facilement, venant même sur mon épaule pour assister à la préparation et se posant ensuite sur le rebord de l'évier pour recevoir la seringue dans le bec.
On a donc tout arrêté en diminuant progressivement les doses sur 15 jours.
Pour réduire au maximum son stress, j'ai également interrompu les sorties dans la volière géante de la PWLF. Il vole donc un peu moins qu'avant, en tout cas, sur des distances importantes. Mais je garde quand même une sortie quasi quotidienne en harnais puisqu'il l'accepte sans aucune difficulté, une petite ballade en compagnie du chien qu'il semble apprécier, très curieux de regarder tout ce qui se passe autour de lui et dire bonjour aux passants.
Je continue à le vaporiser 3 à 4 fois par jour à l'aloé véra puisque, quand son plumage est mouillé, il arrête de se piquer. Mais ce n'est évidemment que provisoire. Son alimentation est toujours aussi variée et équilibrée, excellent sommeil entre 11 et 12h par nuit...
Bref, ce problème de picage est assez déroutant, car sans lui, je dirais que Chopin va bien. Je pense que la dernière chose a essayé est de prendre un(e) congénère.... et, malgré toutes les incertitudes et tous les risques que cela comporte, je vais sans doute franchir le pas à la rentrée de septembre.
En dehors de ça, son comportement n'a pas changé: Il parle, siffle rigole comme avant, et il est toujours aussi affectueux et câlins (à ses heures!)
Je suis de plus en plus convaincu que la cause de son picage est d'ordre psychologique.
Devant l'absence d'amélioration, et en accord avec le véto, j'ai cessé toutes les prises de médicaments. Pendant 5 mois, il a d'abord été sous antifongique et antibiotique pour traiter son infection respiratoire, puis sous antiprurigineux et anti douleur pour lutter contre les démangeaisons.
Tous ces médicaments qu'il a pris matin et soir avec une seringue n'ont certainement pas contribué à atténuer son stress, même s'il les acceptait très facilement, venant même sur mon épaule pour assister à la préparation et se posant ensuite sur le rebord de l'évier pour recevoir la seringue dans le bec.
On a donc tout arrêté en diminuant progressivement les doses sur 15 jours.
Pour réduire au maximum son stress, j'ai également interrompu les sorties dans la volière géante de la PWLF. Il vole donc un peu moins qu'avant, en tout cas, sur des distances importantes. Mais je garde quand même une sortie quasi quotidienne en harnais puisqu'il l'accepte sans aucune difficulté, une petite ballade en compagnie du chien qu'il semble apprécier, très curieux de regarder tout ce qui se passe autour de lui et dire bonjour aux passants.
Je continue à le vaporiser 3 à 4 fois par jour à l'aloé véra puisque, quand son plumage est mouillé, il arrête de se piquer. Mais ce n'est évidemment que provisoire. Son alimentation est toujours aussi variée et équilibrée, excellent sommeil entre 11 et 12h par nuit...
Bref, ce problème de picage est assez déroutant, car sans lui, je dirais que Chopin va bien. Je pense que la dernière chose a essayé est de prendre un(e) congénère.... et, malgré toutes les incertitudes et tous les risques que cela comporte, je vais sans doute franchir le pas à la rentrée de septembre.